Musso, tu m’as surpris, je ne t’attendais pas si tôt cette année ! Fin Mars, tu as pointé ton nez et, sans attendre je t’ai commandé à ma soeur, qui venait de France. J’ai eu la chance de t’avoir dans mes mains en même temps que les gagas de Musso de l’Hexagone. 🙂 Je ne te dis pas comment je cranais avec, du fin fond de mon Alberta. 🙂
J’ai tout de même attendu de prendre la route pour notre RoadTrip pour te lire, mais le paysage ne m’a pas laissé te finir. Alors le soir, je te retrouvais et tu m’emportais avec toi, oubliant totalement ce qui m’entourait. Je m’extasiais chapitre après chapitre, quelle intrigue ! Quel supspens ! Je n’ai rien vu venir, on ne devine rien, tu nous as bien eu ! Et puis l’histoire est tellement bien ficelée, je prends tellement mon pied à te lire, que je m’arrête volontairement, te repose, te laisse tranquille quelques heures, quelques jours. Parce que je ne veux pas te finir, je veux faire durer le plaisir. C’est paradoxal, je souhaite tellement savoir la fin de l’histoire que je souhaiterais le lire d’une traite, mais le sentiment que je ressens quand j’ai un bon bouquin entre les mains est tellement trippant que je ne veux pas que ça s’arrête ! (Je suis bizarre, ou ça vous fait la même ? rassurez-moi !)
Amoureux de Musso ou non, je m’en fou, je sais qu’il y a beaucoup de critiques sur cet auteur, mais il n’empêche que son histoire là est vraiment terrible, alors on s’en fou des préjugés, et foncez, je vous le conseille fortement !!! 😀
Petite parenthèse… c’était certain… Musso a fait parti de mon challenge #100HappyDays ! Je ne vous dis pas dans quel état je suis en ce moment… j’écris cet article à chaud, l’ayant à peine terminer…
Musso, Merci !